Vers les années 1950, le Dr Niehans se faisait connaître par l’utilisation de cellules fraîches embryonnaires d’origine animale.
Dans les années 1960, sur base des résultats de son collègue Niehans, le Dr. Pol Henry, un médecin homéopathe belge, a étendu cette méthode au règne végétal en étudiant systématiquement tout une série de bourgeons et jeunes pousses.
Le Dr P. Henry pose le premier l’hypothèse que le méristème devrait contenir toute l’énergie informative au développement des arbres.
Par la mise en macération de bourgeons et de jeunes pousses dans trois solvants différents (mais parfaitement complémentaires) – l’eau, l’alcool et la glycérine -, il a trouvé le moyen d’extraire leur «quintessence» sous forme de macérat glycériné.
Il a appelé cette méthode « phytembryothérapie » et est, à ce titre, le père fondateur de cette méthode thérapeutique révolutionnaire.
Les anciennes pharmacopées mentionnent déjà l’utilisation
?du bourgeon de peuplier séché, principalement employé en usage externe pour la fabrication de l’onguent de peuplier («ungentum populeum»)
?du bourgeon de sapin tant frais que séché, qui entre notamment dans la confection de tisanes et de sirops pectoral et respiratoire.
Vers les années 1950, le Dr Niehans se faisait connaître par l’utilisation de cellules fraîches embryonnaires d’origine animale.
Dans les années 1960, sur base des résultats de son collègue Niehans, le Dr. Pol Henry, un médecin homéopathe belge, a étendu cette méthode au règne végétal en étudiant systématiquement tout une série de bourgeons et jeunes pousses.
Le Dr P. Henry pose le premier l’hypothèse que le méristème devrait contenir toute l’énergie informative au développement des arbres.
Par la mise en macération de bourgeons et de jeunes pousses dans trois solvants différents (mais parfaitement complémentaires) – l’eau, l’alcool et la glycérine -, il a trouvé le moyen d’extraire leur «quintessence» sous forme de macérat glycériné.
Il a appelé cette méthode « phytembryothérapie » et est, à ce titre, le père fondateur de cette méthode thérapeutique révolutionnaire.
Le premier extrait de bourgeon qu’il étudia fut, celui du bouleau pubescent (Betula pubescens).
Il prouva que le macérat glycériné de Bouleau pubescent active les macrophages du foie et permet le drainage des cellules de Kupffer qui avaient stocké du carbone colloïdal.
Dès 1982, le Dr P. Henry développa un programme informatique qui, fondé sur les résultats d’examens des globulines sériques, permit aux médecins de recevoir un avis phytothérapeutique en concordance de phase avec la biologie exprimée par le patient et la position phytosociologique de la plante conseillée.
Suite aux travaux du Dr P. Henry, le terme «gemmothérapie» a été créé par le Dr Tétau qui a ainsi dénommé de façon définitive ce nouveau domaine de la phytothérapie, aujourd’hui en plein développement.
De nombreux scientifiques (médecins, biochimistes, botanistes) contribuent actuellement au nouveau développement de la Gemmothérapie.
Ouvrages de référence :
Outre les ouvrages écrits par le Dr. Henry et publiés à compte d’auteur ou dans les Cahiers de Biothérapie, nous trouvons :
•Traité de Gemmothérapie, la thérapeutique par les bourgeons (Ph. Andrianne, 2011, Ed. Amyris Bruxelles)
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